Vadim K. poursuit sa quête des femmes au travers de nouvelles toilesque l’on pourra très prochainement voir à NY, Paris ou à la salle des fêtes de Dunkerque, cela dépendra de l’engouement des galeristes pour son travail.
Je connais bien sa peinture et la note positive au niveau du choix de la couleur de fond me laisse croire qu'il a une vision plus positive de la femme ou alors qu'à l'instar de Picasso, il entame une période rose.
Les corps décharnés, les yeux vides et inquiets et les mains squelettiques aux ongles qui en disent trop long sur la souffrance humaine sont une constante dans son art, il exprime une transcription de l’intériorité angoissée du moi par des positions excentriques du corps en mettant l’accent sur les mains.
Ces femmes nous fascinent et nous effraient à la fois, on veut les approcher et les fuir en même temps, elles nous offrent un regard étrange et dérangeant sur la vie, nous plongent dans nos souvenirs et nos pensées les plus secrètes, la douceur du rose enfantin qui frôle la chair macabre nous rapproche de notre propre fin.
L'extrème tension que dégage ce tableau par ses traits déformés crée une distance voire une gêne.
Paradoxe de l'oeuvre, schizophrénie de l'artiste, mais talent et profondeur de sa peinture incontestable.
Photo: “La Protégée” 100 x 100 cm - acrylique-pastels et pierre noire
Bubbles - ART critiq - MoMa NY
Last minute : Vadim exposera ses toiles dans une galerie de Chelsea au mois de juillet.
bravo my friend, Big Apple is for U.
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